« (…) Maintenant, c'est le matin. Tous les participants ne sont pas arrivés (...). Ceux qui sont déjà là ont toute la médiathèque pour eux : les livres, les couloirs, les salles immenses et leur silence somptueux et leurs vues magnifiques derrière les baies immenses sur la cathédrale, le parvis, les rues toutes luisantes de pluie, le ciel et ses échevèlements sauvages. Ils ont aussi la possibilité - pour eux tout seuls ! - d'y lire, écrire, chanter, s'exprimer, calligraphier, "slamer", avec les écrivains, calligraphes, comédiens, slameurs, venus commencer la fête avec eux. »